Chaque ville, y compris Paris d’ailleurs, réfléchie en mode totalement autarcique en se focalisant sur un objectif précis. Faire un petit centre-ville ou il fait bon vivre…
Cette démarche est tout à fait louable. Le seul problème c’est que les points suivants fédérateurs sont totalement exclus :
- Où se situe éléments de vie, le travail, les magasins, les administrations, dans ma ville ?
- Quels sont les moyens dont disposent les gens pour s’y rendre ?
- Quels sont les axes de circulation ?
Comment peut-on accorder alors le moindre crédit à des solutions très dangereuses qui ne peuvent aboutir qu’à un échec des gens, et de la ville par la même occasion ?
On aboutit également à ce paradoxe fabuleux qui est qu’en souhaitant donner un cadre de vie idyllique aux Franciliens, on leur prépare un enfer de transport.
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