samedi 29 décembre 2012

Breuillet Port Sud : Un grand festival


Encore un équipement urbain qui cumule les surélévations, et les séparations de routes. Que se passe-t-il donc à Breuillet ?
Est-il possible de se mettre à la place des personnes qui utilisent encore un peu leurs voitures pour aller travailler ou faire autre chose ? Est-il possible de compter le nombre d’obstacles que ces gens rencontrent entre leurs maisons et la nationale 20 par exemple.
La traversée de Breuillet devient une punition à elle toute seule.

Le malheur, c'est que nous ne sommes pas tous des élus locaux qui n’ont pas de problèmes pour se rendre à leurs Mairie.
Nous ne sommes pas tous encore, des retraités qui n’ont pas de problèmes non plus pour utiliser ces infrastructures en décalé, quand il n'y a personne dessus.

Vous conviendrez que quand on travail, on en a littéralement marre de toutes ces constructions délirantes qui font perdre un temps précieux et diminuer notre productivité personnelle !

Je ne parle même pas des dos d’ânes installés dans Port Sud même. La prochaine étape sera peut-être les chicanes ! 

vendredi 28 décembre 2012

Breuillet : Rue des buttes réault. Un festival


Une petite dernière sur la rue des buttes Réault, mais il faut dire qu’ils ne l’on pas loupée. Il faut avoir du courage pour emprunter cette rue. Surtout que les dos d'âne ont fleuri un peu partout.

Breuillet se construit sa province tout seul. En tout cas les principes Parisiens sont appliqués à la lettre.

Breuillet : Suite de la médaile


Que dire de cette même construction également faite à Breuillet rue des buttes Réault ?
La circulation est totalement étranglée lorsque vous empruntez les rues.
Pour pouvoir tourner correctement vers la rue des buttes Réault, vous devez vous déporter à gauche (il faut dire que c'est bien fait)…sauf quand il y a déjà quelqu’un qui emprunte la rue. Alors là, ça devient compliqué.
Un sacrée duo avec la rue nouvelle pour une même Mairie. Heureusement que le Maire à changer et que ceci n’a pas été généralisé.
Une très belle idée. Pour éviter tout problème, faire en sorte que la rue soit impraticable. C’est réussi.
J’ai une petite pensée pour vous chaque fois que je passe par ici.
Récemment, il y a eu un accident, exactement à la place du poteau blanc. Moralité les pierres supérieures ont été arrachées. Le camion a du avoir très très mal.
Certaines livraisons doivent être toalement impossibles.

jeudi 27 décembre 2012

Médaille d'or de la bêtise : Breuillet, Rue nouvelle


Non mais regardez-moi ce truc là ! Là, je pense qu’on atteint le summum de la bêtise humaine à l’état brut. Je crois bien que c’est la plus grosse construction sur route que je n’ai jamais vu.

Allez, combien a touché la Mairie pour construire un truc pareil ? Un pot de vin ? Une clôture ? Une piscine ? Une maison ?

Ou alors c'est une caméra cachée ? Il y a un piège ? non ?

Ce qui est encore plus fort que tout, c’est qu’ils ont été obligés de diminuer le trottoir pour faire ralentir les voitures pour la sécurité des piétons. plutôt bien pensé ?

Heureusement, il y a un panneau pour nous prévenir de cette monstruosité. Dès fois que !

Dans quel état d'esprit faut-il être pour dépenser autant d’argent dans un truc qui ne remplit même pas son rôle !

Il faudrait peut-être faire un sketch pour que ça serve à quelque chose, à part casser les pieds à tout le monde. Ou alors c’est cela, en fait c’est de l’investissement dans l’art et les médias pour faire naitre des nouveaux talents…Merci Monsieur le Maire

No comment !

mercredi 26 décembre 2012

L'homme qui valait 5 milliards


Il est tellement difficile de trouver des chiffres consolidés sur les radars. Tout le monde fonctionne en différentiel ou en projection sur l’année suivante.


Et en cumulé, ça donne quoi tout ça ?

J’ai travaillé ces chiffres à partir des chiffres sur 2009, en réalisant des hypothèses sur le nombre de nouveaux radars installés, afin d’en déduire les proportions adéquates.
 

On arrive au montant fabuleux qui donne le vertige de bientôt 5 milliards.

Qu’a-t-on fait avec ce chiffre ? On a, à peine sauvé 3000 morts par ans en moyenne.

Qu’y a-t-il donc sur les routes pour nécessiter une telle débauche d’argent ? Pendant ce temps-là, nous pouvons comptabiliser en France pour l’année les morts suivants :
- 60 000 morts/an d’insuffisance respiratoire
- 60 000 fumeurs de moins
- 145 000 morts/an cancers
- 140 000 morts/an de maladies cardiovasculaires
- 90 000 morts/an liés aux drogues
o 60 000 fumeurs de moins
o 30 000 Alcool
- 35 000 morts/an liés au diabète
- 55 000 morts pas an liés à l’obésité
- 26 000 morts/an de maladies infectieuses
- 16 000 morts/an d’accidents domestiques
( Chiffres analysé entre 2006 et 2011 sur Wikipedia.)

Il faudrait également prendre en compte les futurs morts par an liés au diesel (on annonce peut être 100 000 morts par an), a la Creutzfeldt Jakob, et encore bien d’autre.

D'un côté 717 000 morts, et de l'autre 4000. Certes, je ne peux pas vous donner le montant d'investissement des premiers, mais ou pensez-vous que l'on dépenses nos impôts ? Sur les 4000 bien sûr.
Peut-être qu’en investissant notre argent sur l’un de ces postes on sauverait beaucoup plus de 4000 morts ?

Je ne parle même pas de cette période de crise, où nous préférerions tous dépenser 5 milliards à bien d’autres choses.

Et si on arrêtait de dépenser notre argent inutilement ?

Source des chiffres :  http://www.journaldunet.com/economie/magazine/les-radars-en-chiffres/
Un peti article sympa : La vérité sur les radars : http://www.liguedesconducteurs.org/2009071387/je-minforme/les-radars-sauveurs-de-vies-naissance-dun-mythe.html

En attendant, on nous montre ça :  
Parce que quand on voit ça, on est content, on voit que ca s'améliore. Navrant ! Amis des cellules grises bonsoir !

vendredi 21 décembre 2012

Arpajon : Avenue Hoche


Cet équipement vaut le détour, ou son pesant de cacahuètes. Toute la rue est équipé d’un séparateur jusqu’au rond-point de Brétigny.


Lorsque vous conduisez vous êtes contraint à suivre péniblement le petit morceau de route qu’il vous reste.

Ce qui est incroyable c’est que rien n’a été prévu pour les riverains qui habitent au bord de la route. Ils se retrouvent alors à tourner au-dessus de la séparation en surprenant les automobilistes ventant en face et derrière. C’est une formidable cacophonie qui se met alors en place.

Les commerçants riverains ne doivent pas être mieux équipés.

Je n’ose pas imaginer les manipulations que doivent faire les conducteurs de bus, et les pompiers.

Pour les automobilistes, il devient alors impossible de dépasser un véhicule très lent.

Les motos ne peuvent même plus remonter la file jusqu’au prochain feu rouge.

Bref pour ce qui concerne le ralentissement, l’objectif est atteint, mais cela tourne à la punition collective pour ceux qui doivent emprunter cette route.

Transition : La généralisation


Nous avons vu jusqu’à présent à quel point nos axes majeurs étaient au bord de l’agonie, englués dans des infrastructures totalement paralysantes.

Nous allons maintenant vérifier que ce même principe de ralentissement général est appliqué séparément par toutes nos Mairies, qui sont dans l’incapacité totale de gérer les problématiques d’urbanisation, en dehors d'appliquer le sacrosaint principe du ralentissement.

Les exemples sont riches et nombreux. Aussi, je vous invite à nous communiquer les plus beaux exemples.

Il faut bien comprendre que chaque ville de l'Ile de France réalise cette même politique absurde. Le résultat est simple, les déplacements intra et inter urbains sont devenus catastrophiques.

J'ai été au collège, comme beaucoup d'entre nous, à Saint Chéron. Il m'arrivait quelques fois de faire Breuillet-Saint Chéron en vélo. Je pense que j'allais plus vite à l'époque avec mon vélo que maintenant en voiture.

jeudi 20 décembre 2012

Les réactions politiques


Le principe des élus c’est qu’ils sont locaux ! Pensez-vous qu’ils puissent comprendre la situation des travailleurs Parisiens ? On pourrait s’y attendre. Cela me parait le minimum de connaître la vie de ses concitoyens, surtout lorsque que c'est le principal moyen de vie de la famille.


Eh bien trompez-vous ! Certains d’entre eux sont capables de vous répondre : « Je ne comprends pas ce que vous me dites, moi je viens travailler en vélo !» Je comprends que ce monsieur tienne à se construire SA piste cyclable avec l'argent de ses électeurs, même s'il est le seul à l'utiliser et que toute la circulation est bloquée. Circulez, il n’y a rien à voir.

Ce sont bien eux qui déterminent les politiques de la ville et contribuent à la bétonisation des routes.

mercredi 19 décembre 2012

Des solutions de bon sens


Avant de faire en sorte que plus personne ne puisse rouler, il faudrait peut-être faire attention à ce que les gens n’aient pas besoin de se déplacer non ? C’est exactement la même prise d’otage qu’à Paris : On bloque l’accès à la capitale sans se soucier de savoir si des gensdoivent s'y rendre !


Les besoins de la famille

Peut-on prendre les besoins de déplacements d’une famille standard comme base de fonctionnement ?

mardi 18 décembre 2012

N118 : Orsay - Le stop du n'importe quoi


Je me suis rendu compte de cela hier soir en rentrant des Ulis par la bretelle de Chevreuse qui accède à la N118. Vous arrivez tranquillement sur la 118, il fait nuit, la route est chargée du trafic des gens qui regagnent Paris, et…votre voie d’accélération rejoint la voie venant de la même D188, mais dans l’autre sens. Déjà ce premier exercice de style mélange deux voies d'accélération en une seule structure.


Mais le plus beau est à venir, regardez sur la deuxième photo, vous pouvez apprécier ce montage hautement sécuritaire du stop en guise de voie d'accélération et d'accès à la bande d’accélération. Ca parait compliqué rien qu'en le disant. Incroyable.

Que se passe-t-il ? Vous êtes en accélération pour arriver sur l’autoroute à la même vitesse et une voiture arrive à cet endroit précis sans aucune visibilité. Avec le niveau de visibilité il s’engage en forçant et…tout va bien. Vous ne pouvez pas vous déporter sur la 118 chargée, et êtes donc obliger de faire un freinage d’urgence en espérant que personne ne vous suive de trop près, ou de vous déporter sur la 118 comme l'a fait le précédent véhicule.

Encore un bon exemple de cumule des vices qui fait de cet endroit une zone particulièrement dangereuse.

La généralisation sur les routes


Nous démontrerons que ce mode de conception ne se généralise pas seulement sur les axes importants, mais sur l’ensemble des routes et rues de l’Ile de France.


Même pour des déplacements locaux, les routes sont devenues un enfer. La simple traversée d’une ville comme Sainte Geneviève des bois peut prendre plus d’une demi-heure. Combien de vies faut-il pour vivre en banlieue pour faire toutes les activités d'une journée ?

Pendant que les préfectures nous équipes d’architectures fantaisistes, le travail lui reste à Paris. Ont-elles pris la peine de vérifier que les trains étaient aux rendez-vous ? Comment fait-on pour aller travailler ? Quel sera l’avenir des régions quand on ne pourra plus y aller, parce que devenues des provinces ?

lundi 17 décembre 2012

Un seul mot d'ordre ralentir


De nombreuses pratiques sont responsables de l’engorgement des axes de circulation
-          Le mode fonctionnement bactérien, sans aucune concertation globale tend à créer des constructions toujours plus près des routes. Ne faudrait-il pas faire le contraire ?
-          Des systèmes les plus abracadabrantesques sont mis en place au mépris des règles de sécurités : Stops, radar de feu rouge…
-          Les échangeurs sont à peine capables de gérer le trafic de départementales. Ils sont pourtant installer pour des nationales et des autoroutes.
-          La disneylandisation s’applique aussi sur les routes…

Que fait-on quand on en est à ce stade ?
-          On ajoute une couche de sécurité et on limite la nationale à 70 km/h. ça c’est fait !
-          On réfléchit, dans les journaux de l’Essonne à faire passer sur la nationale un couloir de Bus et des pistes cyclables. Si, si cette piste est évoquée, même si j’espère qu’elle ne verra jamais le jour.

La politique de Paris s’applique également sur les routes. La volonté est la même : Ralentir le trafic ! Je crois que c’est bien le pire des phénomènes : Tout ceci est fait exprès !

Sauf qu'à force de ralentir, on en arrive bientôt à ne plus pouvoir rouler du tout !

jeudi 13 décembre 2012

N20 : Conclusion, Bientôt inutilisable


Voilà une belle vue d’ensemble : En l’espace d’une dizaine de kilomètres voilà ce que ça donne.

1 : Le rond-point de Ballainvilliers avec sa saturation du week-end et son accès sur la 20.
2 : La zone commerciale de la ville du bois avec ses accès directement sur la 20.
3 : Les radars de feux de Montlhéry
4 : L’échange avec la Francilienne
5 et 6 : Les casses autos, magasin et sortie par stop sur la 20
7 : Le rond-point d’Arpajon qui mélange magasins et voies d’accès réduite.

Chaque zone est une zone de ralentissements, embouteillages et accident !

Pour faire pire il faudra envisager les ralentisseurs ou des chicanes sur la nationale ! On va peut-être y arriver.

Concernant les nuisances de transport, c’est fait. Qu’en est-il maintenant de la qualité de vie dans les villes avoisinantes ? Comment les Essonniens vivent cela ?

Que fait la préfecture ? Elle limite tout le tronçon à 70km/h. Ce n’est pas formidable comme solution ?
• Les rares fois où cette pauvre route roule un peu, eh bien on ne peut même plus rouler.
• Maintenant on se fait doubler par les gros camions internationaux. J’avoue qu’au niveau sécurité, c’est tip top. Eh oui, les espagnols et les portugais se moquent bien de nos panneaux, en tout cas ceux qui conduisent des poids lourds.

Pourquoi provincialisation ? C’est simple, vous prenez la ville de Breuillet par exemple. Les gens ne travaillent pas à Breuillet, et ne font leurs grosses courses non plus. Déjà, bon nombre appliquent des horaires décalés pour rejoindre leur travail correctement. Que se passera-t-il quand cet axe sera totalement saturé ? Breuillet fera partie de la province Française et plus de l’Ile de France.

Dans notre monde du père Ubu, voilà donc un axe de circulation majeur de l’Essonne dont l’ensemble des équipements et des démarches tendent à le rendre totalement inutilisable. Je cherche encore un objectif à cela, mais je n’en trouve aucun.

Si seulement le train fonctionnait correctement pour résoudre au moins le problème du travail !

mercredi 12 décembre 2012

N20 : des échangeurs millimétriques


Quand deux routes se croisent que se passe-t-il ? Quels sont les moyens à mettre en compte quand il s’agit d’un croisement d’une autoroute avec une nationale ?


On pourrait s’attendre à ce que les conditions de « l’échange» soit les plus longues et les plus sécurisées possibles.

Et bien sur nos routes de France, il n’en est rien.

Et que penser de la zone d’échange entre la Nationale 20 et la Francilienne ? Deux axes majeurs de l’Essonne qui se croisent avec 50 mètres partagés entre l’entrée et la sortie (encore une fois), et une toute nouvelle application du céder le passage (qui ne doit exister nulle part ailleurs). Que pensez-vous que le camion puisse voir de la route sur laquelle il s'engage lorsqu'il est dans ce tournant ?

Les conséquences sont immédiates :
- Zone de bouchon systématique, avec au minimum de forts ralentissements.
- Zone d’accident

N20 : Des accès dignes des échangeurs

Nous avons vu le fonctionnement des stops en accès directe sur la nationale. S'il est vrai que cette gestion correspond à un historique de la route, rien n'empêche d'agir pour les supprimer ou en tout cas améliorer ces points dangereux.

On pourrait s'attendre à ce que les nouvelles infrastructures respecte un peu mieux ces règles mêmes du code de la route.

Cherchez bien ! Elles existent forcément. En tout cas pour la grande majorité ce n'est vraiment pas le cas.

Vous pouvez apprécier les 40 mètres (environ) , partagés entre l’entrée et la sortie s’il vous plait, de notre zone d’échange importante du rond-point de Ballainvilliers.

mardi 11 décembre 2012

N20 : Quand il y a combinaison des vices


 
Arpajon !

Voilà un échangeur qui fonctionnait pas trop mal jusqu’à … l’installation des magasins en bordure d’accès à eu raison de ses capacités. On cumule maintenant, des zones de décélération courtes qui s’entrechoquent avec les voies d’accès de la contre allée de la station services, du lavage auto, d’un concessionnaire et que sais-je encore.

En période de fin de journée, c’est la cacophonie, et vous passez à l’arrêt sur la nationale pour assister au manège des gens qui sortent et rentrent de ce système haut en couleurs.

Vous combinez cela avec le passage des camions internationaux qui se moquent de la limitation à 70 et vous obtenez une zone ultra dangereuse !


Si vous arrivez à éviter l’accident, vous êtes assurez d’un gigantesque bouchon au moins jusqu'à la Francilienne, voir d’un freinage en urgence.
 
Une bien belle réussite d'éfficacité de la gestion de la route !

lundi 10 décembre 2012

N20 : Des stops en guise d'accès


Dès que l’on parle de voie rapide, on aborde la question de voies d’accélération et de décélération afin de permettre aux véhicules d’arriver sur la voie avec une vitesse cohérente. Cette pratique du bon sens applique simplement le principe de la relativité de la vitesse veillant à ne mélanger que des véhicules de même vitesse.


Nous avons déjà abordé l’étroitesse maladive de ces voies en Essonne, que penser alors de rue accédant à la nationale via un simple système de stop ? Quel peut être l’influence d’un véhicule à l’arrêt entrant sur une route nationale limité théoriquement à 90 kilomètres à l’heure ?

N20 : Encore et toujours des stops

Comme entrée sur une 4 voies ?
Que du bonheur !

N20 : Encore des stops d'accès


Et bien l’urbanisation de la nationale 20 fait mieux. Elle le teste tous les jours avec des sorties de rues abracadabrantesques directement sur la nationale !


Quel est l’impact sur la sécurité ? Je vous conseille de faire vérifier, vos freins, votre vue, votre cœur aussi souvent que possible pour ne pas être surpris !

Conseil personnalisé : Vous pouvez être sûr d’une chose, ces endroits sont particulièrement appréciés des forces de l’ordre pour positionner un radar.

Dommage que Google ne nous en ai pas fait profiter sur ses photos ! Une voiture de police au bord de la route, ça aurait été trop fort !

jeudi 6 décembre 2012

Nationale 20 : beaucoup de magasins


 L’impact sur la circulation est catastrophique :

   - Les gens freinent brusquement sur la route pour accéder aux magasins
   - Ils provoquent de graves ralentissements pour retourner sur la nationale avec des conducteurs qui, il est vrai, se moque totalement du flux de véhicule.
   - Ils pénalisent le flux en roulant au ralenti pour trouver l’enseigne qui les intéresse ainsi que le moyen d’accès.
...





Nationale 20 : Encore des magasins

Il y a aussi le folklore des différentes casses automobiles dont les axes d’accès ont sûrement servi de modèle à l’installation des nouveaux magasins.

Bien sûr la encore les gestion d'accès à la nationale sont totalement sécurisés....

Nationale 20 : Des magasins au bord de la route

Si l’on pouvait laisser les magasins s’installer directement sur la nationale on le ferait. Comment peut-on laisser des constructions commerciales si proches de la route ?


Il y a deux raisons à cela :
- La publicité est très efficace, puisque l’enseigne porte directement sur la route passante.
- Le prix des terrains doit être relativement faible en fonction des nuisances.

Comme sur toutes les nationales d’Ile de France, on finit par assister à une succession impressionnante d’enseignes à la queue leu leu. Vous pouvez vérifier qu’elles traversent toute de gros complexes commerciaux de part et d’autre de la route.

Il n’y a rien à dire sur la localisation en elle-même s’il y avait eu des bretelles d’accès et de sortie suffisamment longues. Cette démarche n’a pourtant jamais été respectée.