jeudi 13 décembre 2012

N20 : Conclusion, Bientôt inutilisable


Voilà une belle vue d’ensemble : En l’espace d’une dizaine de kilomètres voilà ce que ça donne.

1 : Le rond-point de Ballainvilliers avec sa saturation du week-end et son accès sur la 20.
2 : La zone commerciale de la ville du bois avec ses accès directement sur la 20.
3 : Les radars de feux de Montlhéry
4 : L’échange avec la Francilienne
5 et 6 : Les casses autos, magasin et sortie par stop sur la 20
7 : Le rond-point d’Arpajon qui mélange magasins et voies d’accès réduite.

Chaque zone est une zone de ralentissements, embouteillages et accident !

Pour faire pire il faudra envisager les ralentisseurs ou des chicanes sur la nationale ! On va peut-être y arriver.

Concernant les nuisances de transport, c’est fait. Qu’en est-il maintenant de la qualité de vie dans les villes avoisinantes ? Comment les Essonniens vivent cela ?

Que fait la préfecture ? Elle limite tout le tronçon à 70km/h. Ce n’est pas formidable comme solution ?
• Les rares fois où cette pauvre route roule un peu, eh bien on ne peut même plus rouler.
• Maintenant on se fait doubler par les gros camions internationaux. J’avoue qu’au niveau sécurité, c’est tip top. Eh oui, les espagnols et les portugais se moquent bien de nos panneaux, en tout cas ceux qui conduisent des poids lourds.

Pourquoi provincialisation ? C’est simple, vous prenez la ville de Breuillet par exemple. Les gens ne travaillent pas à Breuillet, et ne font leurs grosses courses non plus. Déjà, bon nombre appliquent des horaires décalés pour rejoindre leur travail correctement. Que se passera-t-il quand cet axe sera totalement saturé ? Breuillet fera partie de la province Française et plus de l’Ile de France.

Dans notre monde du père Ubu, voilà donc un axe de circulation majeur de l’Essonne dont l’ensemble des équipements et des démarches tendent à le rendre totalement inutilisable. Je cherche encore un objectif à cela, mais je n’en trouve aucun.

Si seulement le train fonctionnait correctement pour résoudre au moins le problème du travail !

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