La ce n'est plus moi qui le dit mais le Parisien à partir de l'étude Citymapper.
Il serait intéressant de croiser cette information avec les déclarations des usagers mais pour une fois ces analyses ne semblent pas être polluées pas les biais de la RATP ou de la SNCF.
Deux grandes conclusions apparaissent:
- La banlieue est la grande perdante des transports.
- 50 % des perturbations impactent les heures de pointe.
J'imagine que Madame Hidalgo ne lit pas non plus le Parisien, et que la fermeture des voies sur berges est totalement compatible avec des transports à bout de souffle.
Ca me rappelle un truc : Ils n'ont plus de pain ? qu'ils mangent de la brioche !
Ce que l'article ne dit pas:
- Quand on regarde froidement l'article on se dit qu'une perturbation reste quelque chose de "normal" dans la vie d'une exploitation. Ben oui, ça arrive.
- Oui mais quel est l'impact d'une "perturbation" sur le trajet de gens qui ont au minimum 2 heures de transport par jour ?
- Ca ne s'appelle plus une perturbation, ça s'appelle une catastrophe !
cela remet tout simplement en cause votre vie au quotidien.
- Vos journées à rallonge, elles vous arrivent sur les pompes.
- Votre vie de famille est jetée à la poubelle.
Et comment vous êtes remercié ?
Avec des Elus locaux qui commencent par ne rien reconnaître de vos problèmes en vous méprisant toujours plus.
Est-ce comme cela que l'on va faire revenir les gens aux urnes ?
Est-ce un nouvelle appel à la guillotine ?
Jusqu'à quand pourrez-vous vous moquez impunément de vos citoyens ?
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